Dans le laboratoire d’immunologie, j’ai regardé les lames fluorescentes au microscope tous les après-midi. Les professeurs et médecins font l’analyse et l’interprétation biologqie , puis sélectionnent les lames les plus belles et les plus positives pour nous, pour voir plus facilement les aspects typiques.
Le monde au microscope d’immunofluorescence est comme le joli soir. Le microscope est comme un téléscope qui peut agrandir les choses.On peut voir les petites étoiles vertes dans le firmament noir. Pour chercher les sérines des patients qui sont positives, normalement, ce sont des parties plus verts et plus lumineuses.
Alors, que t-on regarde ?
On regarde les lames qui ont liaison de tissus immunologiques(la réaction entre des anticorps des sérines des patients avec des antigènes des tissus). Par exemple, les cellules HEP-2, les crithidia luciliae, les tissus thyroïdes, les coupes de cervelet (les anticorps anti-neurones),les coups de rein de souris…et aussi les facteurs rhumatoïdes. Quelques fois,il y a des cellules de lavage de poumon.
On doit utiliser la technique d’immunofluorescence pour trouver les anticorps –antigènes spécials. Il y a deux types de marquages d’immunofluorescence .J’ai
utilé l’mmunofluorescence indirect plus souvent .Dans ce cas, il y a deux anticorps. L’anticorps primaire est dirigé contre l’antigène recherché. Ensuite on utilise un deuxième anticorps, marqué
par un fluorochrome, et possédant une haute affinité pour l’anticorps primaire
(dirigé contre l’isotype de l’anticorps primaire, il s'agit alors d'une
antiglobuline.)
Pour les Anticorps anti-neurones des coups de cervelet ,par exemple .Auto-anticorps
dirigés contre des antigènes-cibles exprimés par la tumeur mais également
contre certaines cellules du système nerveux. La mise en évidence d’un
anticorps antineuronal permet d’affirmer le caractère paranéoplasique du
trouble neurologique et d’orienter la recherche du cancer. Plusieurs anticorps
antineuronaux sont actuellement identifiés : les anti-Hu, anti-Yo, anti-Ri.etc.
Le monde au microscope d’immunofluorescence est comme le joli soir. Le microscope est comme un téléscope qui peut agrandir les choses.On peut voir les petites étoiles vertes dans le firmament noir. Pour chercher les sérines des patients qui sont positives, normalement, ce sont des parties plus verts et plus lumineuses.
Alors, que t-on regarde ?
On regarde les lames qui ont liaison de tissus immunologiques(la réaction entre des anticorps des sérines des patients avec des antigènes des tissus). Par exemple, les cellules HEP-2, les crithidia luciliae, les tissus thyroïdes, les coupes de cervelet (les anticorps anti-neurones),les coups de rein de souris…et aussi les facteurs rhumatoïdes. Quelques fois,il y a des cellules de lavage de poumon.
On doit utiliser la technique d’immunofluorescence pour trouver les anticorps –antigènes spécials. Il y a deux types de marquages d’immunofluorescence .J’ai
utilé l’mmunofluorescence indirect plus souvent .Dans ce cas, il y a deux anticorps. L’anticorps primaire est dirigé contre l’antigène recherché. Ensuite on utilise un deuxième anticorps, marqué
par un fluorochrome, et possédant une haute affinité pour l’anticorps primaire
(dirigé contre l’isotype de l’anticorps primaire, il s'agit alors d'une
antiglobuline.)
Pour les Anticorps anti-neurones des coups de cervelet ,par exemple .Auto-anticorps
dirigés contre des antigènes-cibles exprimés par la tumeur mais également
contre certaines cellules du système nerveux. La mise en évidence d’un
anticorps antineuronal permet d’affirmer le caractère paranéoplasique du
trouble neurologique et d’orienter la recherche du cancer. Plusieurs anticorps
antineuronaux sont actuellement identifiés : les anti-Hu, anti-Yo, anti-Ri.etc.
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